Au début de mai, à l’invitation de Kairos, Phyllis Douillard, Dorothy Guha et moi-même avons participé à une conférence œcuménique sur les mines. Avec environ 150 personnes de toutes les régions du monde, nous avons réfléchi aux retombées des sociétés minières canadiennes sur les communautés. Des pistes de solutions ont été suggérées sur ce qui doit être fait autrement.
Une cinquantaine de participantEs venaient d’Amérique latine, d’Asie, du Pacifique et d’Afrique. C’était une occasion de rencontrer des Canadiens et des personnes venues de l’Europe et des États-Unis qui jouent divers rôles en regard des industries extractives :
- des alliés qui travaillent dans la solidarité pour faire changer la loi au Canada, de sorte que les entreprises qui ont des activités à l’étranger soient mieux réglementées;
- des investisseurs préoccupés par les implications morales de posséder des actions dans des sociétés minières;
- des membres des Premières nations des territoires autochtones du Canada qui n’ont pas la protection juridique suffisante pour défendre leur communauté.
Ces rencontres ont donné lieu à des occasions enrichissantes d'apprentissange interlinguistique et interculturel
