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Sur tous ceux qui n’ont jamais rencontré
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Présente aux personnes marginalisées
« Je ne te condamne pas » Jn 8, 11.
Une réflexion sur les personnes marginalisées, par l’écoute de témoins, suggérée par sœur Thérèse Bibeau, se matérialise durant le Carême 2013. La résidence Marie-Rose-Durocher reçoit sœur Phyllis Douillard pour une démarche en lien avec l’évangile de la femme adultère.
Au début, il y a écoute des réflexions de deux témoins : Père Jean Patry, 38 ans aumônier à la prison de Bordeaux et Mère Teresa. Puis sœur Phyllis Douillard partage une partie de son expérience personnelle auprès des personnes marginalisées.
Le premier contact de Phyllis avec les prisonniers a eu lieu lorsque, professeure au secondaire, elle fait venir un prisonnier pour parler aux élèves de sa classe. L’expérience est si profitable pour les jeunes qu’elle la répète durant les années qui suivent.
A entendre ces témoignages, Phyllis découvre un appel intérieur et décide de donner du temps pour visiter elle-même un prisonnier, et cela de façon régulière. École de croissance pour elle...
Une réflexion sur les personnes marginalisées, par l’écoute de témoins, suggérée par sœur Thérèse Bibeau, se matérialise durant le Carême 2013. La résidence Marie-Rose-Durocher reçoit sœur Phyllis Douillard pour une démarche en lien avec l’évangile de la femme adultère.
Au début, il y a écoute des réflexions de deux témoins : Père Jean Patry, 38 ans aumônier à la prison de Bordeaux et Mère Teresa. Puis sœur Phyllis Douillard partage une partie de son expérience personnelle auprès des personnes marginalisées.
Le premier contact de Phyllis avec les prisonniers a eu lieu lorsque, professeure au secondaire, elle fait venir un prisonnier pour parler aux élèves de sa classe. L’expérience est si profitable pour les jeunes qu’elle la répète durant les années qui suivent.
A entendre ces témoignages, Phyllis découvre un appel intérieur et décide de donner du temps pour visiter elle-même un prisonnier, et cela de façon régulière. École de croissance pour elle...
Phyllis et Thérèse
Depuis plusieurs années, Phyllis chemine avec des personnes marginalisées : ces prisonniers puis des prostituées de la rue Ste-Catherine à qui elle offrait un café la nuit. Actuellement elle travaille auprès des pédophiles.
Jamais l’action ne se fait en solitaire, toujours quelques témoins entourent ou accompagnent la personne marginalisée... voilà les découvertes faites par les sœurs.
La rencontre se termine à la chapelle par l’écoute du chant « Intercession » de Robert Lebel :
Jamais l’action ne se fait en solitaire, toujours quelques témoins entourent ou accompagnent la personne marginalisée... voilà les découvertes faites par les sœurs.
La rencontre se termine à la chapelle par l’écoute du chant « Intercession » de Robert Lebel :
« Sur tous ceux dont le corps a été bafoué sans pudeur,
sans remords, sans amour, sans pitié -
sans remords, sans amour, sans pitié -
Seigneur, prends pitié.
Sur tous ceux qui n’ont jamais rencontré
un regard plein de Dieu qui ait su les aimer.
Sur tous ceux qu’on détruit -
Sur tous ceux qu’on détruit -
Seigneur, prends pitié
