Montréal, 24 au 27 avril 2013
C’est un privilège que d’avoir entendu ces histoires pénibles vécues par des autochtones dans les pensionnats.
C’est un privilège que d’avoir entendu ces histoires pénibles vécues par des autochtones dans les pensionnats.
Ces personnes se sont ouvertes à nous dans une grande confiance voulant faire un bout de chemin vers la réconciliation et vers une compréhension plus grande entre nos deux nations.
Tout s’est passé dans un immense respect de la douleur de l’autre, dans un regard d’accueil et de compassion comme si on marchait sur la pointe des pieds dans un lieu sacré. C’est dans cet état d’esprit que j’ai participé à cette Commission.